J'ai aimé le début des prédateurs de l'ombre de Denis Côté parce que je trouve qu'il y avait du beau vocabulaire comme : "Le poignard de l'angoisse planté dans le ventre". J'ai trouvé que le titre allait bien avec le livre parce que ça se passe le soir et avec beaucoup d'intrigue. Aussi, j'ai trouvé que l'information des sentiments des personnages était suffisante. Par exemple quand il dit: "elle était à demi-recroquivillée sur la banquette arrière".
Simon Arsenault
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